67P/Tchourioumov-Guérassimenko

Un coup d’œil - hum pardon, de CCD ! au T60 depuis le Pic du Midi, la comète 67P/Tchourioumov-Guérassimenko qui s'éloigne tranquillou.

Un premier traitement rapide pour voir (crop), 53x30sec en luminance :



Le déplacement était sensible en juste 1/2h. Elle a failli rentrer en collision avec une petite galaxie

Une animation de 52 images (gif animé de 15 Mo, téléchargez et ouvrez dans votre navigateur) : https://www.dropbox.com/s/5ujr7g48efu8b1l/pipelineout.gif?dl=0

Devant l'immobilisme apparent de l'univers, je trouve cela toujours extra de voir des objects en mouvement (à l'échelle de quelques minutes).
Super animation.

Pour le traitement ... je suis sûr qu'on peut mettre un coup de pinceau avec photoshop pour le bruit :! :-) :-)

Pour la peinture avec Photoshop, je laisse faire les artistes
L'animation est intéressante à plus d'un titre ; on voit que les pixels chauds bougent, le défaut de suivi, et les effets du seeing variable.
Je continue de jouer avec l'astrometrie dans AstroimageJ..

Bien vu
pour l'anim, il n'y a pas assez de réseau ici mais en arrivant à la maison, je m'y jetterai dessus!

Sympa la petite anim.
Pour le bruit d'image, pourquoi le pinceau?
Je ne trouve pas le bruit de cette image génant.

Il m'a fallu beaucoup rusé pour les images à l'APN, de la super école.
Une petite manip simple issu de cet apprentissage que j'ai déjà cité :
- Enregistrement de l'addition brute (image linéaire)
- La mettre en calque au dessus de l'image traite en mode éclaircir.
- Monter le curseur gamma ou le curseur du noir de façon à éclaircir le ciel de l'image linéaire.
Aller doucement pour cette manip et s'arrêter juste quand quand le cieux de 2 images commencent à se mélanger, l'image du dessous doit garder le dessus pour ne pas perdre son info, si on monte trop, les objets faibles disparaissent dans le ciel nouveau.
- Maintenant on règle le niveau du calque en dessous, on baisse le niveau du ciel jusqu’à obtenir un mélange de ciel doux *, toujours garder dans l'optique de ne pas perdre les objets faibles de l'image traitée et de ne pas créer de saut de gradient.

Je garde toujours un peu de l'aspect granulé du calque en dessous.
* Ciel doux n'est pas la même chose que ciel lisse ou lissé tel que avec les algo antibruit. Le ciel linéaire contient tout le bruit mais avec un amplitude acceptable, c'est un ciel doux qui n'as pas subit l’agression de l'étirement de niveaux

Pas de pinceau pour cette manip juste la récup d'un ciel linéaire qui est toujours peu bruité.

Pourquoi toujours associé PS aux pinceaux?

Pinceaux et calques, c'est bien de la peintoche !

Tu utilise bien les masque dans pixi. En plus il y a des options à cocher permettant automatiquement de protéger des partie d'images. Ce n'est rien d'autre que les mode de calque de PS.
Pixi offre des fonctions difficile à faire avec PS et vice versa.

Le coup de pinceau c'est génial aussi tout comme le tampon et chaque fois il y a un panoplie de modes qui permet d'ajuster les outils à ce qu'on veut faire, par exemple un coup de tampon de ciel noir n'effacera jamais les étoiles en mode éclaircir, quel gain de temps (xxx), ce mode agit comme un masque sans avoir à le créer. Mais la on arrive aux finitions. Ca sert à ça le pinceau, une retouche locale.

Diminuer le bruit du ciel, j’appelle ça du traitement.

(xxx) Imagine un bout de ciel avec des trainés noires disgracieuses. Si tu passe le tampon pour les faire disparaitre, tu doit faire gaffe de ne pas éliminer des étoiles, tu te fatigueras si la zone en est parsemé. Tu passe en mode éclaircir et tu fait attention que ta source ne contient pas d'étoiles, c'est fait en un tour de main.
Ps est vraiment souple une fois le fonctionnement compris. Plus est le % du pinceau te permet de doser finement.