SW254/1200 + barlow * 5 monture CI700 picastro
Cette monture me nerve quel énergie pour faire tourner rond et que des misères. Aucun pignon est ajuste avec les axes moteur ou vis sans fin. Avec ces pignons qui ondulent malgré un EP faible il y a des pics rapides terribles. A quoi ça sert le picastro avec un tel manége. Je fini par corriger plus ou moins bien, au bout de 6 mois d’acquisition je veux essayer cette monture. Des vis user ou casser et j’en passe.
Le goto pas formidable qd on est habitué à celui de l'EQ6.
Par contre quelle stabilité.
Pour les misères, au premier montage du tube, lors de l'équilibrage le tube tombe, j'essaie de rattraper, ça ripe, enfin je le tiens au niveau du miroir.
Mais l'avant a fini par taper avec le chercheur. Je redresse les dégâts à l'aide d'un serre joint et je serre à mort les mollettes de la queue d’aronde. Elle n’est pas assez profonde donc seul les bords sont pris entre l’étau et métal contre métal, ça glisse.
Je n’arrive pas à faire la prise en charge pas l’ordinateur, pourtant des essais précédents ont fonctionnés.
3h30 à 3h42, avant de ranger j’image Jupiter.
Puis je oriente le tube pour le démonte avec précaution, elle glisse l’assemblage. Et hop le tube retombe, ce coup si j’assure, je rattrape. La monture libéré du tube s’emballe sous l’effet des 17 kg de contre poids et celui-ci fini par heurté le tube. Pas méchant, une pigne de plus.
Je range le tube et la, surprise. La moonlite a souffert et l’axe ne tourne plus très rond. Je pense un pb de démultiplication, si qq à un schéma de démontage je suis preneur. J’essaie de démonter l’engin, 5h20 j’abandonne. Enerve au max je n’arrive pas à dormir.
Je serrai en forme pour la nuit des étoiles.
J’achète un câble série croisé pour prendre en charge la monture par carte du ciel, les essais à l’aide de la Merop étant infructueuses.
A Peyssis le pointage avec cartes du ciel laisse désiré et pour les déplacements j’opéré par petites étapes pour pouvoir corriger et ré synchroniser à chaque étape. Pas d’autre moyen d’atteindre la cible et ce pénible. Je fini par rester sur M13 et le public se régale à 100 fois avec un amas bien résolu.
A la fin je fais un autoguidage sur 30 minutes pour voir le suivi.
C’est soft, je guide avec une erreur maxi de +-2sec d’arc. Pour ma meilleure photo sur EQ 6 c’est 2,5sec d’arc en 8 min. Cela promet pour la photo. Je dors qq heures puis le lendemain je m’installe, cible NGC5985. Mise en station tip top à l’aide de bigourdan. Ensuite je corrige le réglage du viseur polaire. Enfin cadrage de l’objet.
Dommage seul la 1° photo c’est fait sans nuages ensuite jeu de surveillance pour couper et reprendre la série au gré des nuages. Au bout de 4h j’ai 8*8min de poses mais rien de net sauf la 1° photo.
Au bout de 3 jours de galère j’ai ma dose, mais avant de me retirer je vous envoi mon animation de Jupiter.
Expo un 1/100s 3 *90s à 10 img sec. Sélection entre 650 et 700 img par série. J’ai une préférence pour la première série, sur l’animation c’est la dernière qui rend le mieux.
Donc 12 min sur Jupiter et j’ai découvert une tache nouvelle au pôle sud. Lors de la nuit des étoiles on m’enseigne que je ne suis pas le 1°, mais pour moi s’en est une découverte.